Vitamine C + ZInc

Les fruits de l’acérola contribuent aux défenses naturelles de l’organisme, ont une action de soutien et reconstituante. Ce sont de puissants antioxydants.
La vitamine C contribue au maintien du bon fonctionnement du système immunitaire pendant et après un effort physique intense, à la formation normale du collagène pour assurer la fonction normale des vaisseaux sanguins, des os, des cartilages, des gencives, de la peau et des dents. Elle contribue également à la réduction de la fatigue et accroît l’absorption du fer.
Le zinc contribue au bon fonctionnement du système immunitaire, au maintien d’une peau, de cheveux, d’ongles et d’os normaux, et à la protection des cellules contre le stress oxydatif.

Acérola
C’est un arbuste également connu sous le nom de « cerise des Barbades ». Il est originaire d’Amérique centrale, probablement de la péninsule du Yucatán. Ses fruits sont très riches en acide ascorbique. Bien qu’on l’appelle « cerise tropicale », son goût ne rappelle pas celui de notre cerise : il est à la fois doux et acidulé, avec une saveur unique.
En plus de sa teneur élevée en vitamine C, l’acérola est une source de vitamines B1, B2, B3, B5, B6, de provitamine A et de divers minéraux comme le fer, le calcium, le phosphore, le potassium et le magnésium. Elle est aussi très riche en bioflavonoïdes, qui agissent en synergie avec la vitamine C et possèdent des effets antioxydants puissants et reconnus.
L’acérola est particulièrement recommandée pour prévenir et lutter contre les syndromes grippaux, les maladies hivernales et les infections des voies respiratoires. Elle stimule les défenses immunitaires et est utile en cas d’asthénie, de convalescence ou de carences vitaminiques. Grâce à son pouvoir antioxydant, combiné aux bioflavonoïdes et aux caroténoïdes, elle offre une protection contre le vieillissement cellulaire, notamment au niveau de la peau et de la vue (surtout de la rétine).

Vitamine C
La vitamine C fait partie des vitamines hydrosolubles, c’est-à-dire qu’elle ne peut pas être stockée par l’organisme et doit donc être apportée régulièrement par l’alimentation. En plus d’être soluble dans l’eau, elle est sensible aux hautes températures.
Elle joue un rôle essentiel dans de nombreuses réactions métaboliques, ainsi que dans la biosynthèse des acides aminés, des hormones et du collagène. Grâce à son pouvoir antioxydant, elle renforce les défenses du système immunitaire.
En tant qu’antioxydant hydrosoluble circulant par excellence, une carence en vitamine C a été associée à des pathologies comme l’infarctus, la cataracte ou encore l’artériosclérose. L’acide ascorbique est également crucial pour régénérer la vitamine E oxydée.
Il joue un rôle clé dans le maintien des dents, des muqueuses et dans les processus de cicatrisation. La biosynthèse du collagène dépend également de la vitamine C, qui maintient l’ion Fe²⁺ à l’état réduit, essentiel à la conversion de la proline en hydroxyproline et de la lysine en hydroxylysine.
Elle intervient dans la synthèse de la noradrénaline (neurotransmetteur), ainsi que dans la synthèse de la carnitine, indispensable au transport des acides gras dans les mitochondries.
Des études sur des cobayes privés de vitamine C ont montré une diminution de la biosynthèse des acides biliaires. Elle est aussi impliquée dans l’activation de l’acide folique en acide tétrahydrofolique, sa forme biologiquement active.
Elle régule les niveaux d’histamine endogène, en inhibant sa libération et en favorisant sa dégradation, ce qui en fait un allié thérapeutique dans la prévention du choc anaphylactique.
Elle est également indispensable à la biosynthèse des hormones stéroïdiennes de la glande surrénale.
La vitamine C peut réduire la toxicité de certains métaux lourds (Ni, Pb, V, Cd, Se) en les maintenant sous forme réduite, ce qui facilite leur élimination.
Elle neutralise les radicaux libres (ion superoxyde, radical hydroxyle, etc.), protégeant ainsi l’ADN, les protéines et les membranes cellulaires des dommages oxydatifs.
Elle réduit l’oxydation des LDL et est essentielle à la croissance et à la réparation des tissus, notamment pour la synthèse des cartilages et des os.
On en trouve en grande quantité dans le cristallin de l’œil (environ 20 fois plus que dans le sang), où elle bloque l’oxydation des protéines et prévient la formation de la cataracte.

Zinc
Le zinc est un oligo-élément, c’est-à-dire un minéral présent en très faible quantité dans l’organisme. Il fait partie de centaines de complexes enzymatiques impliqués dans le métabolisme des protéines, lipides, glucides et acides nucléiques.
Il est également nécessaire au bon fonctionnement de nombreuses hormones, comme celles de la thyroïde, l’insuline, les hormones sexuelles et l’hormone de croissance.
Il joue un rôle important dans la stabilité des membranes cellulaires et dans l’intégrité des organes. Il est essentiel à la division cellulaire, à la croissance et au développement durant la grossesse, l’enfance et l’adolescence.
Il intervient également dans la synthèse de l’ADN, l’expression des gènes, la réponse immunitaire, la cicatrisation des plaies et la régénération des tissus.